Il est entendu que quand une chose n’est pas très bien, il est préférable qu’à la place on ai droit à «Plutôt deux fois Kune».
Warden mc Kune est un personnage historique de haute importance. Co-fondateur de la société Albar-Reynolds en 1879, il est connu pour son dynamisme et sa franchise en affaire.
Ce self-made man ayant participé activement au rêve américain était, en plus d’un excellent chef d’entreprise, un homme de valeur, quelqu’un de juste et bon qui savait à la fois avoir la bonté d’une perdrix et la rage d’une loutre quand la situation l’exigeait.
On le surnomma bien vite (en 1883) le Fenneck, de part sa pugnacité en affaire, mais on le surnomma également, quelques années plus tard (en 1885) «THE TIGER».
Car en affaire, Kune était un sacré tigre, je dirai même, un tigre franc de collier.
Lors de la grande dépression en 1890, Kune fit un discours à Wall Street, et plusieurs phrases de son discours sont alors entrées dans la légende, notamment «Celui qui ne combat pas ne peut décidément que perdre», «Un ami qui vous trahi n’est décidément plus un ami de confiance», ou encore cette phrase pleine de bon sens: «Une vie consacrée à faire le mal n’est décidément pas une vie convenable».
A la fin de son discours, il y eu moult STANDING OVATIONS, les briquets s’allumèrent et les gens implorèrent son retour alors que Kune se retirait dans un lieu dont il ne revint jamais.
On dit que quelques instant avant sa disparition étrange, Kune avait décidé de revenir sur scène et de faire un second discours... La rumeur avait couru dans le public dès la fin de son ultime discours, et c’est avec tristesse qu’il fallu se faire à l’idée que Kune s’était désintégré en traversant une porte menant à son bureau... Une nouvelle horrible qui signifiait clairement qu’il ne reviendrait jamais.
C’est avec émotion que l’on dit aujourd’hui: «Plutôt deux fois Kune» quand quelque chose semble de bien peu d’intérêt en comparaison avec ce cultissime bi-discours qui n’a jamais pu avoir lieu.
REPOSE EN PET, Warden mc Kune.
