Il fut dit un jour qu’un homme du nom de Vorace hantait les plaines de Sud-Germanie Carpatique. Cet homme plein de vilesse et de cruehisme avait la facheuse tendance de manger du fer quand il était faché.
A l’époque de l’industrie naissante et de la métalurgie, cela était bigrement mal vu je dois dire. Aussi, Vorace se faisait-il régulièrement lapider par les gens qui le voyait s’approcher des villes.
Vorace en nourrit une haine bien plus grande encore de l’humanité qu’il haïssait incalculabilement déjà à l’origine. C’était donc une haine de folle, une haine qui n’était ni bleue, ni verte, ni jaune, mais bel et bien ROUCH comme un POULET ROUCH.
Ne vous a t’on jamais dit: «ATTENTION MON PETIT, SI TU CONTINUES, JE VAIS TE TIRER DESSUS A POULET ROUCH». Et bien à l’origine, cette phrase vient du fait qu’après maintes lapidations, Vorace élabora, purement par vengeance, une arme contenant toute sa voracité!
Le fusil a POULET ROUCH!
Cette arme avait pour caractéristique d’exploser même des murs de caca sulfurique en fusion (la matière la plus forte) si cela était nécessaire pour mener à bien la vengeance furieuse de Vorace.
Vorace mena un assaut si meurtrier sur le monde, que les seuls survivants furent les gens ayant eu la chance de ne pas le croiser dans son épopée vengeresque. Dans son délire psychotique et après avoir abattu 99,9999999999 % des gens du Monde, Vorace se rendit compte qu’il avait également abattu ses amis. Il se rendit également compte que, du fait que tout le monde était apparemment mort (c’est ce qu’il croyait le pauvre), personne ne pourrait raconter son histoire et que donc sa vengeance n’avait servi strictement à RIEN.
SNIF pour lui!
Par désespoir et soudain empli de doute quant au sens de sa triste existence, Vorace se tira un POULET ROUCH dans la tête et se fut la fin d’une grande aventure que le monde entier a oublié, si ce n’est un vieil homme fourbe... Celui qui, aujourd’hui, pour vous, vous révèle l’unique photo conservée du massacre de Vorace.
Une photo qui le montre en pleine action, en train de dévaster le monde et l’humanité.
Tremblez brave gens, car ce récit, bien que méconnu, est pourtant tout a fait VERY DICK.
De plus, telle tragédie pourrait tout à fait s’abattre à nouveau sur le Monde un de ces jours. Ne criez pas au loup que trop peu ne s’en faut, car quand les poulets auront des dents, il sera sans doute temps que point de mal ne s’en fusse et que la goutte d’eau, point ne fisse débordasse le vase, car sinon, cela pourrait mener au drame!
Et c’est tout simplement pour cela qu’aujourd’hui, il est convenu de dire «CET HOMME TIR A POULET ROUCH!».